• BORDEAUX COULE
    Bordeaux a une nouvelle fois sombré. Défaite 3 buts à 1. A noter l'expulsion de Ramé en première période, et le but de Sané en deuxième mi-temps. Bordeaux s'écroule complètement et s'éloigne
    Réaction : Tout ce qui a été dit <script type=text/javascript> var starImages = new Array ('images/star-empty.gif', 'images/star-half.gif', 'images/star.gif' ); star1src = 'images/star.gif'; star2src = 'images/star.gif'; star3src = 'images/star-half.gif'; star4src = 'images/star-empty.gif'; star5src = 'images/star-empty.gif'; function article_vote(n) { if (!vote_xmlhttp) { alert("Votre navigateur n'est pas compatible."); exit(0); } var timestamp = Date().toString(); timestamp = timestamp.replace(/ /g, ''); //alert (timestamp); var id = 9249; var t = 2; var rqt = "vote.php?id="+id+"&n="+n+"&t="+t+"&ts="+timestamp; var msg; var result; //alert(rqt); vote_xmlhttp.open("GET", rqt, false); // requete XML HTTP vote_xmlhttp.send(null); // alert( xmlhttp.responseText ); response = vote_xmlhttp.responseText //response = "1,5-21000-1" // Note - Etoiles - Votes result = response.substr(0,3); // note sur 3 caracteres "4,3" ou 000 si vote refusé if ( result.substr(0,1) == 'x' ) alert ( "Votre vote n'a pas été pris en compte (" + result + ")" ); else { //alert ( 'Votre vote a été pris en compte, merci.'); document.getElementById("notearticle").innerHTML = result; star1src = starImages[response.substr(4,1)]; star2src = starImages[response.substr(5,1)]; star3src = starImages[response.substr(6,1)]; star4src = starImages[response.substr(7,1)]; star5src = starImages[response.substr(8,1)]; document.getElementById("star1").src = star1src; document.getElementById("star2").src = star2src; document.getElementById("star3").src = star3src; document.getElementById("star4").src = star4src; document.getElementById("star5").src = star5src; votes = parseInt ( response.substr(10,5) ); if ( votes > 1 ) document.getElementById("votesarticle").innerHTML = votes + ' votes'; else document.getElementById("votesarticle").innerHTML = votes + ' vote'; } } </script>
    Jean-Louis Triaud : «Ce match nous laisse de l'amertume... L'exclusion de Ramé alors qu'on maîtrise le match, sur le deuxième but il y a un hors-jeu tellement évident que l'arbitre ne le siffle pas, Edel détourne une frappe sur le poteau... On est dans une période où rien ne veut sourire, on n'est pas en réussite, pas chanceux. On ne va pas s'abriter derrière ça, mais ça compte... Cela va bien finir par tourner un jour, en attendant on ne va pas lâcher et essayer de gagner nos huit derniers matches, pour au moins essayer d'accrocher la Ligue des champions. Peut-être que le printemps sera plus souriant.»

    Marc Planus  : «Défensivement, on n'est pas à la hauteur de nos attaquants, eux ils font les efforts, ils défendent, et nous, on n'est pas au niveau. Si, derrière, on ne se réveille pas, il y aura une grosse désillusion à Bordeaux. On ne peut pas se permettre de faire des erreurs, sinon on les paie cash. C'est dur, le constat est dur, je fais partie de cette défense: si on continue comme ça on va tout perdre».

    Papus Camara :
    «Il faut tenir compte des échéances de Bordeaux sur les 15 jours-trois semaines qui sont passées, on les a joué après leur gros match en quart de finale contre Lyon. Là, ils jouent à dix pendant plus d'une heure, on les a pris au bon moment. La seule chose qu'on peut garantir, c'est qu'on ne tombera pas dans l'euphorie car on a battu Bordeaux. On veut chercher la qualification en Coupe de France pour la finale.»

    Ulrich Ramé :
    «(Pour le titre) Cela va être délicat mais il faut continuer, on a des matches en retard, mathématiquement il n'y a rien de fait. Il ne faut pas forcément parler de titre mais de se retrouver dans les trois premiers, on verra pour les dernières journées. Il faut vite rebondir, on a perdu le premier match mais il nous en reste deux dans la semaine. De l'inquiétude ? Non, on est en mauvaise posture, mais il reste un certain nombre de matches (8), et l'objectif depuis le début de saison c'est défendre notre titre ou finir à l'une des trois première places. (...) Sur l'exclusion, Mickaël (Ciani) veut dégager, le ballon retombe sur la ligne, dans mon élan j'ai le réflexe de mettre la main... Après on prend un but sur coup franc, c'est le tournant du match.»

    Marouane Chamakh : «Je ne suis pas désespéré, mais je suis déçu. C'est un sentiment mitigé, parce qu'on avait le ballon on avait l'impression de tenir ce match, mais l'exclusion (de Ramé) a joué un grand rôle dans ce match. On a peu de réussite en ce moment, on a encore frappé le poteau, mais dans le jeu il n'y a rien à dire, on s'est trouvé, on arrive à enchaîner, à se créer des occasions. Mais en ce moment le problème c'est qu'on court souvent derrière le score... Mais il nous reste une chance, on a encore deux matches en retard, on n'a pratiquement plus le droit à l'erreur. On rejoue dans trois jours et il faut absolument aller au Mans pour prendre trois points. Que faire pour ne pas baisser la tête? Ne pas baisser les bras, déjà (rires)! Le titre? Bien-sûr qu'on en parle encore, mathématiquement c'est encore jouable. Il faut essayer de défendre cette première place, et ne pas négliger le reste, c'est-à-dire cette place en Ligue des champions.»

    Yoann Gourcuff : «La fatigue? Avec certains joueurs, c'était notre cinquième match en vingt jours, je crois, on est réduit à dix et ça nous fait faire beaucoup d'effort. Mais il faut se reconcentrer. Je pense que Bordeaux était supérieur à Paris dans le jeu, mais par contre Paris a été réaliste. Le titre? On va essayer de prendre les matches les uns après les autres, mais on a l'expérience de la saison passée où on a conquis ce titre à la dernière journée, je pense que ça se jouera jusqu'à la fin cette année aussi



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    AVANT MATCH. 32EME JOURNEE. PARIS SAINT GERMAIN / BORDEAUX
     



    Après son épopée européenne, Bordeaux n’a plus qu’un objectif : le championnat. Il doit confirmer son embellie entraperçue en Ligue des Champions, et ce dès samedi à Paris.

    Si près du but…

    Après leur terrible contre performance samedi dernier contre Nancy à Chaban-Delmas, on attendait les Girondins au tournant mercredi, lors du quart de finale retour de Ligue des Champions. Battus 3-1 à l’aller, les hommes de Laurent Blanc ont montré que cette compétition européenne a une odeur qui n’a pas d’égale. Les spécialistes ont l’habitude de dire que l’implication des joueurs en Ligue des Champions n’est pas la même qu’en championnat. C’est d’ailleurs pourquoi les équipes engagées en Coupe d’Europe perdent souvent de l’énergie et surtout des points avant et après ces matches là. Le match de mercredi a offert, comme à l’aller, un spectacle de très haut niveau, avec du suspense jusqu’au bout. Les Lyonnais, confiants avant leurs deux buts d’avance, ont bien débuté la rencontre mais les Bordelais ont peu à peu pris la mesure de leurs adversaires en se montrant beaucoup plus volontaires et précis dans leurs transmissions. Il manquait Diarra et Planus à l’aller pour Bordeaux. Cette fois-ci, c’est Lyon qui était privé de deux joueurs majeurs à savoir Govou mais surtout Lisandro. On a pu constater que le rendement de Gomis n’a rien de comparable. L’ancien Stéphanois n’a jamais su se défaire du marquage incessant des deux défenseurs centraux Bordelais. Alou Diarra, qui a monté en puissance tout au long de la rencontre avant de sortir abattu à cause d’une blessure, et Marc Planus ont tous les deux montré leur importance dans le bloc défensif bordelais. Les deux ont été irréprochables tant sur leur détermination que sur la qualité de leurs interventions. Selon Blanc lui-même, Planus fait parti des défenseurs qui disposent d’une intelligence rare et qui lui permet, même face à des adversaires plus costauds, d’anticiper et de bien se placer. On a vu toute la différence avec Henrique. Michaël Ciani a paru lui aussi rassuré et a joué avec une certaine sérénité qui lui avait manqué la semaine dernière et qui aura coûté sans doute la qualification sur l’ensemble des deux matches. Son bloc défensif retrouvé (avec un Sané très convaincant à droite), Bordeaux a alors pu construire son jeu avec une aisance que l’on n’avait plus vu depuis fin 2009. Emmenés par trois meneurs de jeu axiaux (Gourcuff-Plasil-Jussiê), les Bordeaux ont été tout proches de se qualifier. Après avoir logiquement ouvert le score en fin de première mi-temps par l’intermédiaire de Chamakh, les Bordelais auraient pu arracher la qualification sans un Lloris qui aura été encore déterminant, notamment sur cette tête de Wendel à bout portant en fin de match. Sané a également eu le but de la demi-finale sur le bout du crâne mais sa tête frôlait le montant gauche du portier tricolore. Alors peut-être que Chamakh aurait du bénéficier d’un voire deux penalties et que sans doute celui du match aller n’aurait pas du être sifflé ; quoi qu’il arrive Bordeaux est éliminé d’une compétition qui aura fait rêver tout un peuple. Personne ne les attendait là, alors encore merci !

    Paris pense déjà à la Coupe



    Maintenant, revenons aux affaires ! Après avoir délaissé la Coupe de la Ligue à Marseille et après perdu en quart de finale de la Ligue des Champions, il ne reste plus que le championnat à des Bordelais revanchards. Plus leaders après leur déconvenue de la semaine passée mais avec toujours deux matches en retard, les Girondins accusent trois points de retard sur l’OM qui reçoit Nice dimanche. Le déplacement à Paris samedi intervient peut-être au bon moment. Le club de la capitale qui n’a en tête que sa demi-finale contre Quevilly en Coupe de France n’a plus rien à jouer en championnat. Bloqués à une piteuse douzième place, le PSG n’est jamais parvenu à décoller au cours de cette saison. Gêné par des blessures récurrentes, Guillaume Hoarau, sur lequel reposait le jeu de son club l’an passé, n’a pas retrouvé son niveau qui était le sien. La défense n’a jamais rassuré, Makélélé ne peut plus enchaîner les matches, Sessegnon reste le joueur imprévisible, la rare satisfaction reste le recrutement. Christophe Jallet, travailleur de l’ombre, ainsi que Mevlüt Erding, auteur de douze buts cette saison en sont la preuve. Le duo que l’international turc forme avec le Réunionnais en attaque semble prometteur et demande à être reconduit plus souvent. Mais le PSG va un peu mieux depuis quelques semaines. Qualifiés aux tirs aux buts pour les demi-finales de la Coupe de France aux dépens d’Auxerre, les Parisiens ont enchaîné par une victoire à huis clos contre des Boulonnais réduits à dix (3-0) puis sur un satisfaisant match nul la semaine dernière, de nouveau à l’Abbé Deschamps, privant par la même occasion les Bourguignons de la première place du classement.

    Avec Diarra, sans Carrasso



    Néanmoins, les hommes au scapulaire ont des arguments à faire valoir. Privés de Fernando jusqu’à la fin de la saison, ils pourront néanmoins compter sur Diarra et Planus, présents dans le groupe, même si les deux ne sont pas sûrs de débuter, pour éviter le moindre risque. Nul doute que l’absence conjuguée de ces deux hommes aurait été un coup dur, car une seule possibilité s’offrirait à Laurent Blanc : titulariser Sané en sentinelle, et Henrique en défense centrale. Le défenseur brésilien, pour retrouver son niveau qui était le sien a certes besoin de rythme, mais Bordeaux ne peut plus se permettre de perdre le moindre point. Bordeaux sera en revanche privé de Carrasso, qui souffrait déjà face à Lyon, faisant même ses dégagements du pied gauche ! C’est Ramé qui prendra sa place encore une fois. L’ancien capitaine ne pensait sûrement pas autant jouer cette saison. Si Diarra est apte, le losange sera reconduit et Gouffran sera de nouveau titulaire aux côtés de Chamakh, à moins que le cévenol ne choisisse la sécurité en alignant Plasil aux côtés de la sentinelle (Sané ou Diarra) et ainsi faire reculer l’ancien Caennais à droite. Marouane Chamakh, qui a quasiment fait ses adieux au public bordelais en cette fin de semaine en conférence de presse, a parlé de chaque match qu’il lui restait comme des finales qu’il fallait remporter. La dernière fois que les Bordelais s’étaient dit ça entre eux par l’intermédiaire du président Triaud, ils avaient alors effectué la plus longue série de victoires consécutives de toute l’histoire du championnat de France, délaissant Marseille sur le fil. Car n’oublions pas que l’an passé, à seulement trois journées de la fin, c’est l’OM qui était encore leader. Il avait fallu une victoire à l’arrachée contre Le Mans (3-2) et une défaite de Marseille au Vélodrome pour faire basculer un championnat aux signes précurseurs (victoires à Grenoble, Monaco, Rennes). Cette défaite, c’était justement contre… Lyon !

    Allez Bordeaux !

    le girondins   100%SUPORTER DES GIRONDINS DE BORDEAUX LE SPRINT ET LANCER POUR LE TITRE


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  • Le cauchemar de Bordeaux
    Plus que jamais en proie au doute, Bordeaux s'est incliné à domicile face à Nancy (1-2) lors de la 31e journée et cède son fauteuil de leader pour la première fois depuis bien longtemps. Un revers qui stigmatise un peu plus les difficultés actuelles des Girondins trois match trois defait bordeaux va mal attention
    aller les girondins se remette la tete sur les epaule

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  • bordeaux sur haut niveaux

     

     


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  • les girondins s impose  3  BUT 1 les girondins de bordeaux reprene la place de ledear bravo bordeaux
    buteur  40 eme 66 eme sur penalty76 eme
    BRAVO LES GIRONDINS DE BORDEAUX TOUS DERRIERE LES GIRONDINS DE
    BORDEAUX

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