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  • Après 3 ans au club, Laurent Blanc a décidé de céder aux sirènes de la Fédération Française de Football pour devenir le futur sélectionneur de l’équipe nationale. Un rêve devenu enfin réalité… au détriment du club qui lui aura permis d’éclore, les Girondins de Bordeaux. Un club qui n’aura pas attendu longtemps pour désigner son successeur. Mais alors que certains entraîneurs ont refusé le poste pour des raisons sportives (Jean Fernandez) ou financières (Gerets, Lucescu), le club a finalement jeté son dévolu sur une autre gloire du football français… Jean Tigana. Choix sportif ou choix par défaut ?

    Nom : Jean Amadou Tigana
    Nationalité : Française
    Age : 54 ans
    Date de naissance : 23 juin 1955
    Lieu de naissance : Bamako (Mali)
    Taille : 1m72
    Poste : Entraîneur

    Tigana, joueur : membre du carré magique…
    Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître. Après un passage à Toulon et à Lyon, Jean Tigana, disputera plus de 250 matches sous le maillot Girondin pendant les 8 années (1981-1989) qu’il passera au club, avant de terminer sa carrière à Marseille en 1991.
    Il a fait rêver la France entière au sein de l’équipe de France, une sélection magique à qui il n’aura manqué qu’une victoire en coupe du monde. Les supporters de l’époque n’ont pas oublié cette demie finale perdue à Seville en 1982 face à la RFA aux tirs aux buts, qui aurait pu et dû couronner cette génération dorée. Membre du fameux carré magique aux côtés des Giresse, Fernandez et Platini, Tigana, arrivé en sélection sur le tard à 25 ans, fort de ses 52 sélections, a connu sa plus grande gloire le 27 juin 1984 lorsqu’il remporte, au Parc des Princes, la finale du Championnat d’Europe face à l’Espagne.

    Tigana, entraîneur : un palmarès qui parle de lui-même
    Après avoir mis un terme à sa carrière de joueur en 1991,Tigana va découvrir son nouveau métier 2 ans plus tard à Lyon avec à la clef une seconde place pour sa deuxième année d’exercice, comme un certain Laurent Blanc. Il relève ensuite le défi monégasque alors que le club du Rocher connaît des périodes difficiles. Durant 4 années, il va redorer le blason du club de la principauté avec une demi-finale de Ligue des Champions et de coupe de l’UEFA. Lors de la saison 1996-97, il est nommé meilleur entraîneur de Ligue 1 et gagne le titre de champion de France.
    Après avoir prouvé ses qualités en France, Tigana part à la conquête de l’Europe. Homme de défi, il rejoint le club anglais de Fulham en 2000 qui évolue alors en deuxième division. Dés sa première saison, Fulham termine en tête de son championnat et accède à la Premier League. Mais par la suite, les résultats ne suivent pas et le français est remercié en avril 2003 alors que le club lutte pour le maintien. Après un premier break et la déception de ne pas avoir été nommé sélectionneur en 2004, Tigana tente un nouveau pari et s’engage avec le club du Besiktas en novembre 2005. Avec 2 coupes de Turquie et une place dans les 3 premiers en championnat, il fait taire les sceptiques et parvient à imposer sa philosophie de jeu. Mais l’ambiance turque lui pèse de plus en plus et Tigana met un terme à son aventure en mai 2007 d’un commun accord avec le club suite à un désaccord avec les dirigeants, notamment au sujet de certains transferts.
    Homme de caractère, Tigana va alors disparaître des bancs de touche au point que certains s’interrogent aujourd’hui sur ses capacités à redevenir un grand entraîneur. Certains mais pas les Girondins qui ont finalement réussi à le faire sortir de sa retraite.

    Tigana à Bordeaux : du changement dans la continuité
    La succession de Blanc, qui aura permis à Bordeaux de grandir sur la scène nationale et européenne incombe donc à Jean Tigana. Après les titres sous l’ère du Président, Bordeaux se doit de retrouver les sommets et les titres après une saison passée qui s’est terminée de manière catastrophique.
    Après l’entraîneur d’un calme olympien, Bordeaux passe à un entraîneur au caractère bien affirmé. Intransigeant, son caractère entier a souvent dirigé sa carrière d’entraîneur. Ses désaccords avec les dirigeants ou encadrement sont à l’origine de ses départs dans chacun des clubs où il est passé, que ce soit sous forme de démissions (Lyon et Monaco), de licenciement (Fulham) ou de rupture d’un commun accord (Besiktas).
    C’est donc un entraîneur qui n’aime pas qu’on lui dicte ses choix, qui débarque en Gironde. Nul doute que les joueurs devraient trouver du changement au Haillan à leur retour de vacances. Un mal pour un bien sans doute, vu la fin de saison des joueurs, incapables de remplir les objectifs du club.
    Dans tous les clubs où il est passé, Tigana a réussi à imposer sa philosophie, à savoir un jeu basé sur un football offensif, avec la volonté de voir son équipe donner du plaisir aux spectateurs. Une philosophie que le club Girondin cultive depuis l’arrivée de Laurent Blanc. Alors plus qu’une fin de cycle, c’est sans doute une continuité avec sans doute une poigne un peu plus forte pour Tigana.
    Les joueurs passés sous ses ordres ont le souvenir d’un entraîneur qui n’hésitait pas à bousculer ses joueurs, au point de les vexer pour les faire réagir. A ses détracteurs, Tigana affirmait, comme un autre célèbre entraîneur, « ceux qui me trouvent dur ne comprennent pas que je veux les emmener loin ».
    Même s’il ne constituait vraisemblablement pas une priorité, le choix de Tigana pourrait bien s’avérer judicieux pour redonner aux joueurs en mal de confiance, le goût de la victoire et du don de soi. Pour autant que le club Girondin lui donne les moyens de ses ambitions.

     

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  • Girondins – Tigana nouvel entraîneur

     

    Jean Tigana est le nouvel entraîneur de Bordeaux. Comme prévu, les Girondins ont officialisé sa venue mardi matin. Tigana succède à Laurent Blanc, qui devrait rejoindre l'équipe de France après le Mondial. Il se serait engagé pour deux ans et devrait être épaulé par Michel Pavon.

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    C'était dans les tuyaux depuis quelques jours maintenant. C'est désormais officiel. Jean Tigana est le nouvel entraîneur des Girondins de Bordeaux. Trois ans après sa dernière expérience d'entraîneur au Besiktas Istanbul, l'ancien milieu de terrain international retrouve un banc de touche à Bordeaux où il s'est engagé pour deux ans. A 54 ans, il entraînera son cinquième club après Lyon, Monaco, Fulham et donc Besiktas. Depuis l'annonce du départ de Blanc, il était pressenti pour prendre la relève tout comme Eric Gerets, Rolland Courbis et Jean Fernandez. Des pistes qui ont rapidement refroidi. Et c'est donc Jean Tigana qui aura la lourde tâche de faire oublier Laurent Blanc.

    Sur le papier, Tigana semble un choix logique. Son expérience de joueur au plus haut niveau avec l'équipe de France, son passé à Bordeaux où il a remporté trois titres de champions de France (1984, 1985, 1987), réalisé le doublé Coupe-championnat en 1987 et décroché la Coupe de France en 1986, sont autant d'atouts à l'heure où les Girondins ont besoin d'une nouvelle tête d'affiche pour relancer leur projet. Tout comme son parcours d'entraîneur. Sur un banc, l'ancien membre du "carré magique" des Bleus (avec Michel Platini, Alain Giresse, Luis Fernandez) a déjà montré ses qualités. Vice-champion de France avec l’Olympique Lyonnais en 1995, champion de France avec Monaco en 1997, il a aussi amené l'ASM à la demi-finale de la Ligue des Champions face à la Juventus de Turin en 1998 et fait monter Fulham en Premier League en 2001 avant de remporter à deux reprises la Coupe de Turquie en 2006 et 2007 avec Besikats. "Son palmarès parle pour lui", souligne le site du club aquitain.

    En Gironde, Tigana va avoir plusieurs défis à relever. En premier lieu, il devra assumer la lourde succession de Laurent Blanc. Ensuite, il devra réussir à relancer le club girondin après sa saison blanche marquée par une décevante sixième place en championnat. Dans les prochaines semaines, son principal travail sera toutefois en coulisses. Après le départ de Marouane Chamakh, il doit s'atteler pour conserver ses cadres alors qu'Alou Diarra et Yoann Gourcuff pourraient être tentés par de nouveaux défis au sein d'un club qualifié pour la Ligue des Champions. Pour l'aider dans cette tâche, il devrait être épaulé par Michel Pavon, qui devrait être nommé comme adjoint lors de la conférence de presse aujourd’hui à 15 heures.


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  • Résumé de la saison 2009-2010 Part I

     

    On est passé par tous les états… Au début de saison en août dernier, rien ne laisser présager la chute de l’empire Bordelais et encore moins à la trêve ou les Girondins possédaient alors une dizaine  de point d’avance sur ses plus sérieux concurrents (Marseille et Lyon). Mais voilà, les rumeurs autour de Laurent Blanc ont semble-t-ils cassé le ressort du groupe qui n’avait d’yeux que pour la ligue des champions… Pourtant assoiffé de titre au mois de janvier, les Marines et blancs ont lâché les compétitions une à une pour finalement terminer à la 6è place du championnat! Conséquence… Pas de coupe d’Europe, un entraîneur qui s’en va et un groupe meurtri qu’il faudra rapidement étoffé. Mais ca c’est une autre histoire…<o:p></o:p>

    L’heure du bilan a sonné, on connaît la réponse de Laurent Blanc qui a donc décidé de se « casser » laissant Bordeaux dans la « merde » après avoir emmagasiné l’expérience dont il avait besoin… Néanmoins on ne pourra pas lui enlever son parcours quasi parfait avant cette chute vertigineuse, il partira avec 4 titres au total en l’espace de 3 ans, un bilan qui aurait pu être excellent sans les 5 derniers mois, désolé on ne peut pas s’en empêcher !

    Sur la lancée du titre.Août 2009, Bordeaux commence le championnat tambour battant enchaînant les succès qui lui permit à l’époque de placer la barre à 14 victoires consécutives en ligue 1 (11 sur l’exercice précédant), un record ! Stoppé dans son élan à Marseille alors que le deuil de Robert Louis Dreyfus était bien présent ce soir la, l’arbitre refusa un but à Jussiê pourtant tout à fait valable. Pas grave, les Girondins repartent de l’avant et continue de prendre des points. Mardi 15 septembre 2009, début de la ligue des champions à Turin, tout le monde craint se déplacement, les vieux fantômes de Stamford Bridge refont surface dans les têtes… Mais non, Les Bordelais bluff leurs mondes et repartent de la Juve avec 1 point en poche et plein de certitude, oui Bordeaux a grandit, on en est certains. Un mois de septembre finalement bien négocié ponctué par un succès à domicile face au Maccabi Haïfa dans la douleur mais victoire quand même… Samedi 03 octobre 2009, Les hommes de Laurent Blanc se rendent dans le Forez confiant… Tellement confiant que le Cévenol change la quasi-totalité de son effectif, résultat… Un non match, une belle défaite, la 1er de la saison et les premiers prémices de la chute. Ce soir là, le banc en avait pris « plein la gueule »… 2 semaines plus tard, les partenaires de Diarra se rendent à Auxerre pour laver l’affront (entre temps à eu lieu 2 matchs de l’EDF). Peine perdu, Cavenaghi toujours inerte offensivement manque un penalty et Bordeaux s’inclinera à nouveau… 2 défaites consécutives, une première sous l’ère Blanc. Mais ce groupe a du caractère, mercredi 21 octobre 2009, réception du Bayern de Munich, Ciani marque contre son camp, mais remet lui-même les pendules à l’heure avant de se voir imiter par Marc Planus, nouvelle victoire probante en LDC 2-1 ! S’en suit 2 succès consécutifs et une qualification acquise dès la 4è journée de la ligue des champions à l’Allianz Arena s’il vous plait, victorieux 2 à 0. Dimanche 08 novembre 2009, Bordeaux se rend à Lille auréolé d’une qualif pour le printemps prochain, mais ils oublient les fondamentaux et se font battre 2-0, logique, Jussiê en prendra pour son grade durant la conférence de presse de Laurent Blanc… 2 semaines plus tard, bis répétita, après l’entracte des Bleus et la balade Irlandaise… Les Girondins se font surprendre à domicile par Valenciennes, 2 ans d’invincibilité qui s’achève à Chaban, score 1-0. Encore une fois, Bordeaux va se relever en battant à domicile la Juventus et les éliminant au passage… La suite… 6 succès consécutifs jusqu’à la trêve en ligue 1 et une énième victoire en ligue des champions avec l’équipe bis à Haïfa. Durant le mois de décembre, les Girondins iront s’imposer à Gerland et à la Mosson. On se quitte alors sur un dernier succès à Toulouse. Les Marines et blancs partent en vacances avec le sentiment du devoir largement accompli laissant derrière des écarts immenses, 9 points d’avance sur Lille, 11 sur  Lyon et 13 sur Marseille !<o:p></o:p>


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    PETIT RETOUR SUR UN GROS GACHIS
     

    LA CHUTE DE L'EMPIRE BORDELAIS





    La saison 2009-2010 restera et pour longtemps, une saison très particulière à Bordeaux. Démarrée sur les chapeaux de roue, elle s'est ensuite transformée en incroyable calvaire et personne ne semble l'avoir vu venir au moment de déballer les cadeaux sous le sapin.
    C'est un monstrueux gâchis, une incroyable deuxième partie de saison totalement antinomique avec la première. Un truc trop gros pour être vrai, et auquel on n'a pas fini de chercher « L’ » explication. A coup de « un peu de calendrier » par ci, « trop de blessés » par là, tout y est passé avec évidemment, la fin de cycle comme inévitable passage obligé.

    Trop de faits de jeu contraires ? L’année passée, celle du titre, Bordeaux commence à Monaco avec 3 buts de handicap, à Rennes c’est un but en tout début de match et un carton rouge de Planus, la plupart des matchs des girondins ont débuté avec un score défavorable.

    Des problèmes de match en retard ? Mais en quoi avoir un match de retard a jouer plus tard, donnerait le droit de ne jouer le match du jour à fond ?

    Les blessés, la fatigue ? Les joueurs auraient payé la saison 2008-2009 et sa débauche d’énergie… un an plus tard ?? C’est la première fois que j’entends cet argument.

    L’incertitude liée à l’avenir des acteurs principaux ? Depuis quand ça ne fait pas partie du foot ?



    Une victoire contre Boulogne apparemment rapporterait moins de points qu’une victoire contre Lyon

    Revenons aux faits. Sur le papier le meilleur onze de France, un groupe rodé, une ligue 1 où 15 à 17 des équipes qui la composent sont nettement plus faible et …. 4 mois de parcours digne d'une relégable, une série de défaite contre Nancy à domicile, Paris le ventre mou, Le Mans (ne manquons pas de respect à un adversaire), Lorient, Valenciennes (encore deux places fortes du foot français) pour un nul contre Lyon. Un mois d’avril catastrophique. Sur le terrain, aucune communication, aucun collectif, aucun esprit de révolte, le moindre fait de match contraire, même à la 8ème minute de jeu, et le mental explose !!!

    Seul un gros problème peut se cacher derrière ça, pas une addition de petites choses intrinsèques au football d‘aujourd’hui.

    Alors que s'est-il passé au Haillan ? Manifestement, le mal se situe entre début janvier et février, la Ligue des Champions a masqué le problème, mais le mal était déjà là, il n’a fait qu’exploser une fois la compétition terminée.
    Depuis quelques mois, le Haillan n’a fait que se refermer sur lui-même, et n’étant pas infiltré au cœur du vestiaire girondin, il ne nous reste que quelques faits pour nous permettre de tenter de reconstituer un puzzle basé sur des hypothèses. Avant peut-être, un grand déballage en mai ou juin.



    Bordeaux – Marseille. Diawara insulté par tout Bordeaux. Réaction du capitaine des girondins : « le public est ingrat ». Pas meilleure déclaration pour se faire adopter par un public ! Un transfert déjà en préparation ???
    Sportivement, c’est la première occasion manquée de tuer le championnat. Mais rien de grave, le matelas est encore bien épais.

    Janvier encore, équipe de France, Escalettes, déclarations, Blanc … Comment ça vous n’étiez pas au courant ??

    Février, avant le retour de la C1. On fait tout pour ne pas gagner les matchs de coupe de la ligue. Pas de bol, en face c’est vraiment trop faible, cadeau, direction Saint-Denis. Premier revers, la coupe de France, la question de l’époque « Qu’est ce qui peut empêcher Bordeaux de faire le triplé ? » Réponse après Monaco : « Tant pis on fera le triplé avec la Champion’s League à la place ! ». Quatre buts encaissés à Rennes quatre jours plus tôt.

    Mars sur la lignée de Février. Tout Bordeaux attend impatiemment le déplacement à Bernabeu fin mai. En attendant on tue le temps comme on peut. Montpellier puis Auxerre en quatre jours et deux réceptions : un maigre point. Comme une impression de prestation catastrophique contre Auxerre (à vos VHS). Mais tout va bien l’essentiel est là, la première place, et une brillante qualification contre le Real de M… Pardon… Olympiakos. Arrive cette finale dont on ne veut pas, ne surtout pas se fatiguer, ni se blesser. Mais en prendre trois en finale face à Marseille, ça ne laisse vraiment pas de trace ? Le début d’une série qui en une semaine a vu Bordeaux perdre la coupe de la ligue, le quart de ligue des champions (match aller quasi rédhibitoire), et a très sérieusement entaché les chances de titre.



    Avril et cette deuxième mi temps de quart retour en LDC. Bordeaux a joué serein : « On a le temps pour mettre le 2ème ». Un discours partagé par tout un stade, de la pelouse au haut des tribunes. Définition : on se garde les deux occases qu’on aura probablement en mettant le feu dans les cinq dernières minutes, en espérant en mettre une à Lloris. Serein ! Mais visiblement la Ligue des Champions, c’est le dépassement, le risque et l’engagement à 120%. Leçon retenue pour l’année prochaine ….

    Et quand toute une dynamique est brisée, quand un mal très profond frappe un groupe, faut-il espérer quelque chose du classement ? Non, dans ces moments là, on ne fait que tomber là où nous points actuels nous permettent de rester.

    Au fil de cette série catastrophe, on a clairement et pa-ra-do-xa-lement vu « le coach » jeter l’éponge, admettant ne pas avoir de solution ! Du renoncement !!!
    Après Le Mans, rejeter la faute sur les cadres et parler d’une équipe de jeune contre Lyon (très bon match de Saivet, qui lui a permis par la suite de réapparaître… sur le banc), rejeter la faute sur le staff médical,  sortie du frère jumeau de Chamakh à Nice et entrée de Cavé et Bellion à la … 84ème minute (si il y a bien un poste qui a besoin de temps de jeu, c’est attaquant). Quid de Gouffran ? Où était-il pendant les matchs de Montpellier et Auxerre ?? Enterrement du turn-over. Avoir tiré le meilleur parti de 11 ou 14 joueurs et avoir laissé les autres perdre leur football, alors que le turn-over se faisait clairement ressentir…. Bref une vague impression de flou… de panique. Et quittons vite le navire avant de couler avec !

    Plus la fin de saison avançait, et plus les réactions de supporteurs et d’analystes semblaient contester les choix de Blanc. Et même si on n'est pas entraîneur, il n'y a pas de fumée sans feu, non ?



    Et maintenant ?

    Suite au match de Lorient, et malgré les réactions des supporters, il fallait se rendre à l’évidence, il n’y avait plus rien dans ce groupe et la 6ème place nous est promise (un 5-0 contre ce Sochaux rassurerait qui ?). Pas de coupe d’Europe, un départ des « joueurs-de-ligue-des-champions » : Chamakh, Gourcuff, Diarra (pour finir d’achever la colonne vertébrale du titre après le départ de Diawara), et pourtant pas d’exode massive (été 96) en vue. Les joueurs sont sous contrat (et de bons contrats), la saison a été rude en terme d’image.
    Un petit tour d’horizon de l’effectif, qui n’engage que son auteur :

    Planus, Ciani : Devrait rester, l’un est le Bordelais de l’effectif, l’autre venant d’arriver, digère à peine sa sélection face à Torres. Besoin de stabilité.
    Chalmé : Un autre bordelais, qui semble voué à passer le flambeau à Sané.
    Trémoulinas : Un beau point d’interrogation. Attaché au club, il sera sûrement partagé avec l’idée de poursuivre sa progression en LDC et ne pas perdre de temps.
    Fernando : Il se murmure qu’il resterait. Il se murmure qu’il serait sur le point de signer en Italie. Incertain depuis son arrivée.
    Plasil : fidèle, travailleur, nouveau, stable, bien payé. Reste !
    Wendel : N’a pas cessé de déclarer qu’il ne rentrait plus au brésil, que ses enfants étaient Bordelais, que lui-même l’était aujourd’hui. L’autre meilleur joueur de l’effectif, polyvalent professionnel et tireur de coups de pied arrêtés, sans grande exposition médiatique. Reste.
    Gouffran : Disparu de l’effectif, n’a pas répondu à toute les promesses et ne semble pas si bien que ça en Gironde. Départ.
    Sertic, Traoré, Saivet, Sané : Restent, trop jeunes.
    Cavenaghi : Reste. Tout ça c’est du bluff. L’année prochaine il sera là et Bordeaux jouera à 2 pointes. Trop bien en Gironde.
    Bellion : Souhaite rester et souhaite prouver quelque chose. Un peu léger mentalement (trop cérébral pour un poste qui nécessite de ne pas se poser de questions). En espérant trouver l’entraîneur qui saura lui redonner confiance…
    Henrique, Jûssié : Pourquoi les avoir prolongés ? …
    Placente : Anecdotique
    Carasso : Reste. Un poste stable, une place en EDF et un bon salaire.


    Bien sûr, Ramé fidèle au poste, et Jurietti à la retraite, et voilà comment en une vingtaine de noms dont quatre jeunes et un fantôme, on fait le tour d’un effectif ayant pour ambition de bien figurer sur quatre tableaux !



    Bordeaux 2010, ou comment en écrasant le foot français, on a été les premiers à filer un titre à Marseille depuis 17 ans, les premiers à filer un vrai titre à Marseille, les premiers à envoyer Lyon en demies de C1… Humiliant.

    aller les girondins une victoire demain soir pour une fin de championnat asser bonne domage que la fin soi  pas belle merci bordeaux merci laurent blanc qui devrait dire son en revoir a bordeaux merci  lolo pour ses 2 ans de folie


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